Le mot du directeur
Madame, Monsieur, vous visitez le site web de l'Unité de Formation et de Recherche Arts et Sciences Humaines. Après quelques années de fonctionnement, il est devenu un des outils privilégiés de communication entre les étudiants, les personnels enseignants, administratifs et techniques et nous permet de présenter la richesse et la variété de nos enseignements.
Chers visiteurs,
L’UFR Arts et Sciences Humaines de l’université de Tours est heureuse de vous accueillir sur son site, ou vous pourrez trouver toutes les informations sur les formations, les équipes et la vie étudiante dans notre composante.
Regroupant les départements d’Histoire de l’Art, d’Histoire et l’Archéologie, de Musique et de musicologie, de Philosophie, de Psychologie, de Sociologie, de Sciences de l’éducation ainsi que le Centre de Formation des Musiciens Interprètes, la faculté d’Arts et Sciences Humains forme chaque année environ 5 500 étudiants accueillis sur le site des Tanneurs et les autres sites présents dans la ville.
L’UFR Art et Sciences Humaines est un lieu d’enseignement et de recherche dans lequel se font et se transmettent des disciplines en prise directe avec le monde social. Dès la première année de toutes nos formations, les étudiants et étudiantes sont formés à construire un regard critique et argumenté sur les comportements humains, sur la façon dont chacun et chacune d’entre nous participe au monde social.
Dans un monde trop souvent dominé par les prises de position hâtives, les débats de mauvaise foi et l’indignation généralisée, vous trouverez en ASH le souci d’une construction méthodique des faits, de débats argumentés et de cadres théoriques soumis au doute et à la discussion. Aujourd’hui plus que jamais, alors que nous avons encore du mal à saisir tous les effets des bouleversements sociaux et politiques auxquels nous sommes soumis, la société française a besoin d’étudiants et d’étudiantes qui s’engagent dans des études en Arts et Sciences Humaines.
A bientôt donc dans nos formations et nos séminaires de recherche.
Thomas Sigaud